Un nouveau chapitre sur l’enfer des réseaux sociaux, inspiré de mon immersion durant deux
ans et demi dans une unité psychiatrique fermée pour adolescents a été ajouté et les chiffres
réactualisés.
Depuis sa première parution, certains tabous ont été levés, comme celui des effets délétères de
l’exposition précoce et prolongée aux écrans des enfants, et des adolescents, de la
fréquentation du porno chez les jeunes.
Mais d’autres thèmes que ce livre aborde restent tabous :
- Les effets toxiques de l’exposition répétée, quotidienne à la violence via les shorts, les
séries, les films et les jeux vidéo. - Les effets des contenus pauvres et hypnotisant, « les mauvais contenus », sur
l’intelligence des enfants. - Le poids des lobbys (secteur du jeu vidéo, du numérique éducatif notamment) qui
empêche aujourd’hui toute mesure de protection de l’enfance.- Le lien entre exposition répétée à des contenus de mauvaise qualité et l’accroissement
de certains troubles psychiatriques : TDAH, TND, symptômes dépressifs.
Ma réflexion s’ancre dans l’observation de mes patients, l’écoute de leur récit et celui de leur
entourage. Elle propose des changements « testés » par les patients et leur famille.
Sénèque a raison :« Ce n’est pas parce que les choses sont difficiles que nous n’osons pas,
c’est parce que nous n’osons pas qu’elles sont difficiles. »
- Le lien entre exposition répétée à des contenus de mauvaise qualité et l’accroissement
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